De retour de vacances, du soleil plein la tête et quelques histoires lues aussi.

Durant l’année, je ne lis quasi-jamais. En vacances, je me rattrape. La preuve, avant d’attérir, j’avais deux romans d’enfiler. Les deux tomes d’À perpétuité de Marilou Addison. Boum. Avalés d’un coup. Très chouette histoire! J’ai poursuivi avec L’espérance de vie des flocons de neige de Marie Paquet (sur le bord de la mer) et Avec toi de Marie Potvin (sur le bord de la piscine). En vacances, pas de temps à perdre! hahaha J’ai refermé certains livres au bout de 2-3 chapitres et j’ai lu un historique moyen dont je ne me souviens ni du titre ni de la fin (c’est triste).

Entre tout ça, j’ai eu envie de lire ce qui se fait dans les grosses ventes, pour voir un peu le buzz. Celle qui m’a marquée? Les sept maris d’Evelyne Hugo. Je l’ai vu passé souvent sur les réseaux l’an dernier – le titre intrigue (wtf sept maris?) et puis, il était là, à attendre dans ma liseuse. Allez, hop! On teste! Ça m’a pris 3 jours (entre les maris, faut respirer), mais c’était une lecture qui claque. Qui touche. Pas dans le sens où on ne s’en remet pas, mais parce que la trame a un petit quelque chose qui détonne. Le secret qu’on attend, qui passe sous notre nez et que je n’ai pas vu parce que j’avais peur qu’un des personnages meure. Fou!

Certes, ce n’est pas une romance, mais j’ai aimé la carotte qui donne envie de connaître la suite. Le mot-clé, c’était secret. C’est pour ça qu’au retour, dans le bus qui me ramenait à l’aéroport pour rentrer chez moi, j’ai fait une liste de petits secrets exploitables dans une prochaine histoire. Je m’étais promis de ne rien écrire en vacances: promesse tenue! Mais je suis revenue avec une jolie liste sous le bras.

L’inspiration est une chose étrange. La preuve, j’ai beau avoir une belle liste, il y a de fortes chances qu’une ou deux idées sortent du lot (ou aucune, qui sait?) Mais tant que l’inspiration est là, le reste ira…

Il ne me reste qu’à consigner tout ça dans mon petit fichier excel. Quand j’aurai envie de reprendre la plume, et que j’aurai un petit passage à vide, je saurai où retrouver mes idées!