Je vois tout le monde qui fait des bilans pour l’année 2010. Je l’avais fait en 2009, car c’est l’année durant laquelle je me suis remise à écrire, pour un total de cinq bouquins. En 2010, c’était plus calme, bien que j’ai tout autant écrit. Peut-être l’attrait de la nouveauté était-il passé? En tous les cas, je rame pour faire un bilan (je n’ai pas beaucoup de mémoire, désolée).Alors voici, en vrac:

  • J’ai terminé La mémoire de l’ombre (deux tomes sur cinq et le cinquième m’a pris un temps fou)
  • J’ai écrit: A, Le barman (roman adulte), Le wicca (fantastique) et j’ai commencé deux autres romans que je n’ai pas terminé. Personnellement, j’aime La mémoire et A, car ils me semblent déjà mieux aboutis. Bon, pour le roman érotique, on s’en fout, c’était un exercice plus qu’un but en soit.
  • J’ai eu un groupe difficile à la session d’hiver qui est devenu complètement adorable à la session d’automne (signe que l’été apporte certains bienfaits aux jeunes) et j’ai hâte de revenir les retrouver en janvier.
  • Mes collègues de travail ont été une vraie famille pour moi. J’ai beaucoup de chance de les avoir sous la main, très souvent.
  • Mon mari est revenu de Québec (yay!) et on a fêté notre 12e anniversaire de mariage.
  • Ma tante a fait un infarctus moins de trois ans après avoir survécu d’un cancer des poumons. Est-ce possible de croire qu’il y a un Dieu après ça? Elle vit avec 18% de son coeur et s’est fait posé un coeur mécanique il y a moins de deux semaines. Une vraie force de la nature et une inspiration pour moi.
  • J’ai fait une fausse couche difficile, il y a un mois, mais je suppose qu’on s’en remettra en 2011. À trente cinq ans, on a une chance sur trois. Maintenant, je le sais.
  • On a finit l’année en France (ce qui n’est pas piqué des vers, comme on dit). À défaut d’avoir de la neige, on mange et on sillonne la route pour profiter de la famille. Dur, les vacances, hein?
  • Et j’ai été accepté en parrainage avec l’UNEQ avec mon premier tome de Rêves alors le boulot ne fait que commencer. En plus, je l’ai déjà dit, j’ai un parrain en or. Pas de quoi se plaindre!