Après 23 jours de CampNano, j’ai terminé le premier jet de La main de Dieu. Résultat? Une grosse brique de 22 chapitres, 229 pages et 96 000 mots.
Est-ce que je suis contente? Oui et non. Oui, parce qu’il y a déjà deux jours que je songe à autre chose, signe que la fin était déjà « dessinée » dans ma tête et que… ça y est! C’est vraiment fini. Non, parce que je sais qu’il y a des erreurs dans ce premier jet. Qui n’en a pas, après tout? À la fin du récit, atteint si vite que je ne voyais plus le début. Je me doute que mon personnage a subit quelques changements, qu’il y a des années à vérifier et des « petits noms » aussi (car ils sont redondants… « soupir »), mais on verra ça plus tard. La ligne centrale est là. Pour le reste, on y reviendra après les milliers de trucs que j’ai à faire…
Je l’avoue, je suis encore dans l’adrénaline de la fin (que j’anticipais plutôt quelque part, la semaine prochaine, alors bonjour la surprise). C’est pourquoi j’ai du mal à croire que ce soit terminé. Ça viendra… ce soir, probablement.
De toute façon, un roman, c’est comme le vin, il faut que ça décante un brin. D’ici là, je laisse la chose dormir et je repars sur autre chose, car c’est beau écrire, mais j’ai un manuscrit à corriger, aussi.
N’empêche, pour le plaisir, je poste mes statistiques, parce que je n’en suis pas peu fière! Oh oui, et je compte bien recommencer en août!