J’ai terminé La perte aujourd’hui, ou alors… Petits éclats de vide, qui semble encore s’incruster dans ma tête. J’espérais que la fin du roman me donnerait le titre, comme une illumination, mais je ne trouve pas. C’est bête, mais tant pis. C’est fini quand même.

Je remarque que je bâcle souvent mes fins, mais ça fait trois jours que je tourne en rond et il fallait bien que ça finisse. De toute façon, ce qui compte, ce n’est pas la fin, ce sont les passages que je voulais écrire et qui étaient difficiles à sortir. Parfois trop, parfois pas assez, mais enfin… ils sont là. Il lui faudra une bonne relecture, évidemment, surtout que Word ne veut plus voir mes coquilles (parce qu’il y a trop de phrases en anglais – moi qui ne sait pas parler anglais, quelle idée!).

Bref… en voilà un autre de terminer. Différent, triste, lourd, mais beau. Je ne suis pas sûre que c’est la bonne fin (je ne le suis que rarement, mais lui, c’est pire), mais je suis sûre qu’il vient de me sortir de la tête. Enfin!