En début d’année scolaire, j’ai rarement assez de temps pour écrire, mais dans mes temps libres, je lis et je rêvasse à mes histoires qui attendent leur tour (parfois depuis des années). J’attends que le temps me permette d’y retourner. De replonger dans ces récits qui attendent leur fin. À défaut, d’autres apparaissent et font leur petit nid dans mon esprit bien occupé.
Récemment, une très vieille histoire est revenue me hanter. Une histoire que j’ai raconté dans un roman. Il s’agit du roman jamais écrit de Vizaël, dans Alice, qui se trouve dans une partie qui a été retirée avant la publication du tome en question (mais elle est disponible via la section VIP). C’est un homme balafré qui tombe amoureux d’une femme qui perd la mémoire et qui croit qu’il vaut mieux la laisser trouver un homme qui n’a pas de marque visible, pour son bonheur, évidemment. Et voilà que cette trame revient doucement. Elle se positionne. Elle prend du volume. L’histoire, déjà, mais aussi les personnages qui prennent corps. Ils me parlent. Ils ont même des noms, soudain. Et une époque. Oui, parce qu’il s’agit probablement d’un historique (ce qui n’était pas le cas, à la base). Ça pourrait même devenir mon nano, si j’arrive à tenir jusque-là!
Et le titre temporaire: Le miroir de la triste vérité. À suivre, donc!